Ce lexique est juste une petite aide pour ceux qui abordent le yoga afin que la terminologie ne soit pas un obstacle à leur curiosité! Ce lexique traduit essentiellement de mots sanskrit qui reste une langue vivante en Inde, mais cela en toute simplicité car l’auteur n’est absolument pas une sanskritiste! Les sources sont reprises de diverses lectures.
1. Feu.
2. Dieu du feu. Agni est un des dieux principaux, que l’iconographie représente chevauchant un bélier. Le feu est le messager entre le monde matériel et les réalités spirituelles, entre l’homme et les dieux.
3. Toute la pratique du yoga a pour intention de créer le feu du yoga, qui est son fondement. Le yoga est un rituel de feu intérieur ne nécessitant pas d’ingrédients externes mais nécessitant les différentes facultés de notre nature. Lors de la pratique du yoga nous offrons au feu Divin interne tous les aspects de notre être.
« Celui ayant acquis un corps né du feu du Yoga, ne connaîtra ni maladie, ni vieillesse, ni mort. » Shvetaswatara Upanishad
Autorité – Volonté – Maîtrise.
Nous avons tous fait l’expérience d’entrer dans un lieu et d’y éprouver un ressenti, agréable ou désagréable. C’est ce ressenti que l’on appelle ambiance. Ce terme définit le ressenti d’un endroit, d’un lieu, d’une personne, d’une réunion, d’un objet, de son propre état d’être. Ce ressenti de l’ambiance est plus ou moins important selon notre état de réceptivité.
1. Ambiance externe
C’est le macrocosme dans tous ses aspects. C’est le ressenti du monde extérieur au corps. Cette ambiance comporte l’atmosphère ambiante, tout autour de soi, mais également bien au- delà. C’est par le développement de nos sens subtils qui ne sont pas limités à notre enveloppe charnelle que nous pouvons prendre conscience cette ambiance alors infinie.
2. Ambiance interne
C’est le microcosme. Ambiance interne se rapporte au ressenti de l’ensemble du corps, avec l’utilisation du regard intérieur. Bien entendu les autres sens dans leur aspect subtil sont mobilisés dans cet espace intérieur du corps. Le ressenti est alors différent de la sensation grossière, primaire, habituelle du corps physique. En dirigeant la conscience à l’intérieur du corps dans le torse, on apprécie l’ambiance plus ou moins dense, plus ou moins détendue de ce corps. On peut alors en conséquence agri sur cette ambiance, ce qui a pour effet de modifier le corps lui même.
3. Ambiance frontale
C’est la définition d’une zone perçue à l’aide du regard intérieur dans l’espace situé au-dessus des sourcils, vers l’arrière du front. Elle se situe au front sans pour cela en épouser la forme. Toute ambiance est en effet vibratoire. L’ambiance frontale, comme toute ambiance évolue constamment, La détecter et suivre son évolution est indispensables l’on veut pouvoir intervenir à bon escient pour améliorer notre comportement. Elle est particulièrement importante car elle est la résultante des ambiances qui composent tout être humain (physique, psychique, spirituelle) . elle est le tableau de bord de notre merveilleuse machine humaine.
4.Ambiance des sources
Ce terme définit le ressenti lorsque la pensée est dirigée dans un état de réceptivité, depuis le Point Source, à travers Sahasrâra- chakra vers une source d’énergie, à l’infini au-dessus de la tête.
5.Ambiance qualifiée
L’ambiance est plus ou moins qualifiée. Elle a toujours une qualification même si elle est neutralisée; c’est alors sa qualité. L’interêt, c’est de prendre conscience de cette qualification pour pouvoir le cas échéant la modifier soit dans sa puissance, c’est-à-dire son potentiel énergétique, soit en faisant varier sa qualité. On utilise dans ce cas les trois modalités d’expression de l’énergie (les trois Gunas).
Béatitude parfaite. Félicité divine. Joie spirituelle ineffable. Terminaison du nom de nombreux moines.
Souffle inspiré. Celui des cinq Prânas qui régit la région abdominale inférieure.
Assiette corporelle. Position. Posture de Yoga.
1.Les quatre stades de la vie humaine.
2.Groupe de disciples autour d’un maître.
Texte où sont exposés les principes de la médecine et de la pharmacologie hindoues traditionnelles.
Contraction musculaire locale dans le Hatha-Yoga. Fixation intérieure. Indispensable pour obtenir la justesse et les effets majeurs du contrôle structuré du souffle. Ligature. Exercice qui ferme l’un des orifices du corps et qui empêche ainsi toute entrée ou sortie par cet orifice.
Les bandha, bien que formant un mini-groupe représentent donc une partie essentielle des exercices de Prânayâma; mais redisons-le, ils peuvent être pratiqués au sein des postures dont ils accroissent l’efficacité. Les bandha sont une contractions/rétractions musculaires localisées et internes qui complètent les exercices de Prânayâma et augmentent la puissance, mais aussi la sécurité.
Le terme bandha, à l’instar des termes sanskrits aux explications sibyllines et difficilement traduisible, signifie: ligaturer, mais aussi maintenir, nouer, resserrer, sceller, boucler.
Les bandha concernent des régions spécifiques. Certes, ils agissent au niveau physique sur circulation, systèmes nerveux et endocrinien…Mais ils ont surtout pour but de régulariser la circulation Prâna par le relâchement de « noeuds » (granti) qui entravent cette circulation et de canaliser cette énergie vers des régions précises:
– La combinaison des trois bandha porte le nom de maha bandha « la grande rétraction ».
Les bandha sont liés aux trois éléments : Vent- Feu- Eau.
Dès que la pratique est dominée, les bandha peuvent être pratiqués avec des exercices de Prânayâma, et les postures. Cette pratique est liée à khumbaka, la rétention du souffle, soit à vide, soit plein. Seule l’expérience permettra de « doser » ces périodes de pause. Il est donc vivement recommandé de travailler avec mesure au début et d’apprendre les bandha séparément avant de les inclure dans un programme.
Il n’est pas théïste, au sens où il ne pose pas l’existence d’un Dieu créateur, c’est ce qui le différencie de nos religions. Il est dans un système de causalité, c’est la production interdépendante des causes et des effets qui vont amener à la formation du monde. Il nous renvoie à un plan de réalité qui n’est pas celui de nos perceptions ordinaires où se manifeste cette énergie du sacrée. Cette énergie du sacrée prend différentes formes…
Les textes védiques. Le sacré, l’absolu. La seule réalité, dont la manifestation n’est qu’une illusion(Mâyâ). La conscience qui se connaît en tout ce qui existe, l’existence supracosmique qui sous-tend le cosmos, le moi cosmique.
Individu appartenant à la caste la plus élevée.
(Rac. Budh : S’éveiller). Faculté d’éveil spirituel. Intelligence supérieure. Forme de L’individualité grâce à laquelle le moi peut connaître l’Âtman-Brahman. L’un des 24 Tattvas.
Roue de char, cercle, disque – arme de Krishna en forme de disque. Centre d’énergie spirituel dans le corps subtil en correspondance avec certaines fonctions physique mentales, vitales ou spirituelles. Ce sont des vortex d’énergie tourbillonnants et sont ainsi les organes principaux de notre corps subtil. Ils sont des sortes de carrefours sur « le réseau routier » de notre système énergétique. S’il y a des embouteillages l’énergie a du mal à se rendre jusqu’à destination. Ils sont situés en avant du corps, il ne faut pas les confondre avec les padmas, points vertébraux de résonance des chakra. Cette compréhension nous donne aussi des informations sur les niveaux de conscience sur lesquels on peut « vibrer ».
On en énumère sept qui s’échelonnent depuis la base de la moelle épinière jusqu’au sommet du crâne: Mûlâdhâra, Svâdhishthânâ, Manipûra, Anâhata, Vishuddha, Âjnâ et Sahasrâra.
Ces six points de vue doctrinaux orthodoxes de l’hindouisme constituent le système brahmanique de la Philosophie indienne, pour lequel le terme āstika prend le sens de « qui reconnaît l’autorité des Veda », bien que cette reconnaissance soit très relative pour certains de ces points de vue. Selon Michel Angot, « Le mot darśana n’a jamais été employé au sein de ces écoles quand elles étaient vivantes, et jamais non plus leurs adeptes ont pensé qu’il y en avait six! Malheureusement, ce classement a été adopté par les maîtres indiens aux xixe et xxe siècles et chacun disserte aujourd’hui sur eux. Le ṣaḍdarśana considéré comme Six Systems of Indian Philosophy (titre d’un ouvrage de Max Müller, 1900) hante les manuels consacrés à l’hindouisme : pourtant c’est un fait qui appartient à l’hindouisme contemporain et n’a aucune réalité ancienne ». Ces points de vue sont représentés par des écoles principales qui sont:
Conscience fixe et stable en un endroit précis.
Les trois Gunas, Sattva, Tamas et Râjas définissent les modalités de l’énergie. Dans la métaphysique tantrique qui est celle de la genèse de l’Univers, il nous est dit que Prakriti, puissance créative, déploie, secrète l’Univers selon le principe de gunas, appelés sattva, rajas, tamas.
Sattva se veut un principe d’équilibre, de pure conscience.
Tamas est le principe de l’inertie, du non-mouvement, de la passivité. Dans notre tradition occidentale où la passivité est confondue avec l’inertie la plus totale, nous avons tendance à dévaloriser, à déconsidérer cet aspect « tamas » des événements ou des choses. Bien sûr, il s’agit là d’une erreur fondamentale. Tout étant relatif et lié, l’activité ne peut se concevoir que par comparaison à son opposé, et son complémentaire, la passivité.
Rajas est le principe de l’activité; il agit sur tamas pour supprimer sattva, ou sur sattva pour supprimer tamas.
En fait, l’objet de toute pratique est de développer le guna sattva. Les gunas sont aussi les modalités de l’énergie. Par principe, la manifestation de l’énergie est le mouvement, la mobilité, le changement . Ceci ne peut se concevoir qu’au travers de trois points: l’équilibre, le centre, sattva, l’activation de mouvement, rajas, et son frein, le modérateur tamas. Ces modalités se retrouvent dans les définitions de toute l’énergie, que ce soit pour définir une personne, une ambiance ou encore l’état d’être en pratiquant une posture. Les gunas sont aussi utilisés dans le Yoga de l’Énergie pour moduler une ambiance.
Divinité (Devatâ) choisie (Ishta) à titre principal par un individu pour son adoration et son culte.
L’étirement de la nuque et de la moelle épinière produit des effets subtils sur l’hypophyse et l’épiphyse (glande pinéale) tandis que le « chin lock » agit sur la thyroïde et la parathyroïde.
Les fibres parasympathiques majoritaires régularisent coeur, circulation, tension d’où détente générale.
Murmure, Marmonnement. Récitation d’une Litane.
Connaissance de la vérité.
Yoga dans lequel l’esprit joue le rôle prépondérant.
Action, l’Oeuvre. Force résultant d’actions accomplies dans le passé, surtout dans les vies antérieures.
Yoga dans lequel l’action joue un rôle prépondérant. Acte désintéressé.
Ce terme sanscrit se traduit par enveloppe, mécanisme, corps. Les yogis considèrent que l’être humain est composé de différents corps ayant chacun son mécanisme correspondant à la fonction qui lui incombe. Toutefois ces différents corps s’imbriquent et sont en constante interaction, allant du plus dense, visible, vers les plus subtils, invisibles à nos sens ordinaires.L’homme est composé de différents plans de conscience qui vont du dense vers le subtil. À première vue, tout être humain est un corps dense, ensemble de chair, de muscles, soutenu par un squelette et composé également d’organes. Son anatomie est, de nos jours, parfaitement connue dans les moindres détails, jusqu’aux glandes endocrines. Certes il y a encore de nombreux points obscurs à éclaircir en physiologie. Tout être humain a aussi des pensées, des sentiments, des émotions, et ces fonctions laissent présager des plans de conscience subtiles invisibles. C’est ce qu’en Orient nos ancêtres avaient découvert, il y a des siècles.Des textes très anciens nous révèlent que leur connaissance de l’intériorité dépasse de loin à ce sujet nos connaissances les plus modernes, Freud n’ayant fait que puiser à ces sources lointaines. Toutes les traditions distinguent au moins trois niveaux chez l’homme: le corps, le psychisme et le moi profond sou Soi. Pour les hindous, l’être humain est composé de cinq enveloppes appelées « kosha » en sanskrit que l’on traduit en langage moderne par » plans de conscience ». La première, le corps dense appelé aussi corps de chair ou corps physique est constitué de solides (os, chairs, muscles et organes), de liquides (sang et lymphe) et d’influx nerveux transmis par les nerfs. Ainsi trouve-t-on déjà dans ce corps concret une représentation du dense vers le subtil. C’est annamaya-kosha, l’enveloppe faite de nourriture.La deuxième, prânamaya-kosha, c’est le corps de l’énergie. Cette dernière circule dans des canaux subtils nommés nâdis par les hindous et méridiens d’énergie par les chinois.La troisième, manomaya-kosha, c’est le corps du mental. C’est l’ensemble du psychisme conscient et inconscient. Son anatomie subtile comprend deux « mentaux » et deux chiitas; l’un en relation avec le manifesté et l’autre avec le non- manifesté. La quatrième, vijnânamaya-kosha, est l’enveloppe faite de Connaissance avec un grand « C ». Cette connaissance s’obtient par la jonction de l’intellect supérieur avec les principes des états de conscience sensoriels. La cinquième, ânandamaya-kosha, est l’enveloppe faite de béatitude. C’est l’enveloppe la plus profonde qu’on nomme aussi corps causal. Par elle, on atteint la pureté, la réalité, le Soi et…Paix, Joie, Amour.
Énergie représentée par un serpent lové à la base du corps subtil et s’élevant le long de la Sushumnâ dans certains exercices de Yoga. Dans l’hindouisme, un aspect de l’énergie créatrice féminine symbolisée par un serpent en sommeil lové à la base de la colonne vertébrale jusqu’à son éveil, généralement induit par des exercices particuliers. L’éveil de la Kundalinî n’est pas une condition préalable nécessaire à l’illumination.
C’est l’un des deux grands poèmes épiques de l’Inde, fondateur de l’hindouisme avec le Ramayana. On peut penser que la date de l’épopée primitive du Mahabharata est bien antérieure à celle du Ramayana, comme les faits eux-mêmes qui sont la matière de l’un et de l’autre poème. Il relate la guerre des Pândava contre les Kaurava. La Bhagavad-Gità en est un des épisodes.
1.Chakra situé dans la région du nombril. Représenté par un lotus à dix pétales, de couleur jaune où s’inscrit un triangle pointe en bas. On y entend la résonance Ram. En relation avec l’élément Feu (Agni). 2.Dans un Chakra Manipura équilibré, la sensibilité et la raison sont unies harmonieusement . Un moi fort, connecté au monde extérieur est établi. Fermeté et talent d’organisation peuvent être exprimé et utilisé au mieux.
(Rac.Man). Instrument de pensée. Brève formule sacrée d’invocation.Formule qui est composée de syllabes que l’on traduit ou pas, formule que l’on répète. 2 termes «Man» c’est l’esprit «manas» et «tra» c’est la protection. C’est ce qui protège l’esprit des perceptions ordinaires. Il va permettre à l’esprit de se concentrer et d’accueillir cette vibration du sacré à travers la formule du mantra, c’est pour ça que le sens du mantra n’a pas forcément d’intérêt, sauf dans le cas ou l’on va répéter des enseignements…
Les mantras les plus communs sont associés à des déïtés qui sont des représentations , des figures de la sagesse éveillée qui se manifestent sous cette forme là. Cela peut-être une forme féminine, masculine, couroucée, paisible… il y a tout un panthéon, ce sont des formes d’énergie et la façon pour l’être humain de recevoir cette énergie de la déïtée c’est précisément en récitant son mantra. (bouddhisme)
Sceau, signe, marque. Geste significatif destiné à maîtriser des puissances du corps subtil dans certaines disciplines (danse, yoga, etc).
Racine. Fondement.
Bruit violent. Rugissement d’un fauve. Son intérieur que l’adepte perçoit.
Purification de la circulation de l’énergie vitale.
« La vibration qui va venir ancrer en nous l’énergie libérée lors de la pratique. Qui va la faire vibrer sur l’axe des principaux chakras. Le son de l’union, de la communion. Entre la terre et le ciel, le dehors et le dedans, le corps et l’esprit. Vibrez, et vivez. »
Auteur des Yoga-Sûtras et grammairien célèbre (IVème siècle av. J.-C).
Les plexus sont des lieux de rencontre de filets nerveux du système neurovégétatif : sympathique et parasympathique. Encyclopedis Universalis donne cette définition : » Ensemble de carrefours anatomiques constitués par l’entrecroisement de plusieurs rameaux nerveux ou par l’interconnexion de troncs vasculaires. »
Définir les chakras comme des plexus est limitant pour ces derniers mais nous pourrions les associer aux plexus pour les concrétiser…
Sans doute un bindu des points décrits dans les textes traditionnels et classiques. Bindu est un mot sanskrit décrivant une action, ou une énergie concentrée. Dans le Yoga de l’Énergie, c’est un point virtuel, sans localisation anatomique précise, que l’on découvre situé vers le centre de la boule crânienne, ce qui le situe, bien qu’une recherche précise soit une leurre, au point de rencontre de 3 lignes:
Dans la pratique, ce serait une erreur de vouloir le situer avec un précision ultime. Il est de l’ordre de la sensation, du vécu, du ressenti.C’est ce lieu où va se recentrer la pensée lorsque l’on veut rechercher quelques idées dans sa mémoire; c’est ce lieu dans lequel on se recentre instinctivement lorsque l’on doit être concentré. Le Point Source est le point de départ des indriyas, en quelques sorte l’orange sub-intérieur si l’on considère un des indriyas.
1. Dynamise, projet, puissance procréatrice, construction active. 2.Manifestation existentielle des virtualités du Purusha. 3.Personnification de la nature.
Régulation de l’énergie vitale par le biais du contrôle du souffle.
Yoga procédant essentiellement par la méditation.
Pratique d’une discipline spirituelle.
Bon, saint. Celui qui a renoncé au monde pour se consacrer à la recherche spirituelle.
1.Chakra se situant au sommet du crâne
Le huitième et dernier membre du Râja-Yoga et du Hatha-Yoga. État d’union avec le Dieu personnel ou d’absorption dans l’absolu. État de supra-conscience, passage sur un des plans de conscience supérieurs à l’état de veille.Réalisation d’un état d’unité spirituelle
Posture de stabilité debout.
Terme sanskrit signifiant « ensemble de ce qui circule », d’où » transmigration ». Dans l’hindouisme ce concept parle du cycle des vies successives et du conditionnement dû au Karma. Cours des rivières après leur confluent. Mouvement circulaire de la conscience divine dans l’espace et le temps. Ronde des naissances et des morts, réincarnations successives. La vie dans le monde la multiplicité.
Prédispositions ou impressions innées qui résultent de ses existences ou actions antérieures.
Au coeur de la pratique, le satsang offre la possibilité de poser des questions et d’avoir des réponses.
Littéralement il signifie “la réunion avec la sagesse ». Lorsqu’on médite en groupe, ceci crée une atmosphère spirituelle concentrée, qui permet une expérience de méditation plus profonde s’il y a aussi une réflexion.
Satsang signifie aussi » être en compagnie de la vérité », « être en compagnie des sages », ou « compagnie de la vérité qui est en soi ». Le terme désigne un groupe qui se rassemble auprès d’un maître dont l’enseignement est fondé sur les principes de la non-dualité.
Le Satsang donne accès à la paix intérieure et ouvre de nouvelles perspectives.
Puissance, force, énergie. Pouvoir de manifestation de la non-manifestation. Force consciente du divin. Force psychique dans le coeur. La mère divine, source du pouvoir. Puissance de manifestation et d’action d’un dieu particulier, représentée comme une déesse.
Elle une des postures les plus importantes du Yoga. Allongé sur le dos dans une détente complète. Ce terme sanskrit se traduit littéralement par posture du cadavre. Dans le yoga, śavāsana (prononciation: chava-āsana).
L’un des grands dieux hindous, dieu de destruction et de transformation, maître du Yoga.
La posture parfaite. Âsana dans lequel les jambes sont croisées de telle sorte que la plante du pied gauche soit appliquée contre la cuisse droite, le talon gauche appuyé contre le périnée sous les parties génitales. La jambe droite repliée avec le talon appuyé contre le pubis. Les mains peuvent être posées à plat sur les genoux ou dans d’autres Mudrâs.
Fil d’un collier. Chaîne d’aphorisme. Aphorisme.
Disciplines spirituelles reposant sur le pouvoir-conscience (Shakti) conçu comme la mère divine.
Posture de l’étoile. Equilibre la circulation de l’énergie entre les polarités du haut et du bas, de la gauche et de la droite, et relâche davantage l’espace du coeur.
Les 24 principes de l’énergie cosmique énumérés dans le Sâmkhya. Signification intérieure.
Ventre.
Instruction spirituelle donnée par un maître qualifié. Initiation.
Enseignement. Méditation, exercices spirituels.
Âsana dans lequel le Yogui, les genoux joints et posés à terre, est assis sur ses pieds croisés ou entre ses pieds, appliqués contre le corps, la plante en l’air ; les mains sont posées sur les genoux.
Remontées inconscientes des impressions passées, parfois même très anciennes, qui deviennent conscientes, encombrant l’esprit d’un véritable embrouillamini et lui faisant croire qu’il pense, alors que son mental est gouvernée par des idées reçues.
Vent.
Le savoir par excellence, la science parfaite. L’ensemble des écritures sacrées de l’hindouisme.
Connaissance discriminante. Gnose. Connaissance supra-mentale.
Posture du héros.
L’une des trois personnes de la Trimûrti.
Le Chakra situé dans la région de la gorge, dans la 4ème vertèbre cervicale, glandes thyroïde et parathyroïdes. Il est représenté par un lotus à 16 pétales, de couleur indigo, où s’inscrit un triangle pointe en bas dans un cercle. Chakra de la clairaudience. Très influencé par les sons et en relation avec la thyroïde. On y entend la résonance Ham. En rapport avec l’élément Ether.
Ce cinquième Chakra nous donne accès à la vérité, la sagesse et à la logique. Il permet à notre esprit créatif de s’exprimer, nous y trouvons la force nécessaire à nos réalisations. L’expression, la communication, la transformation de nos énergies au moyen du langage et d’images caractérisent ce Chakra.
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